Mercredi 5 juin 3 05 /06 /Juin 02:49

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Par SoumiseSarah - Publié dans : Journal intime - Communauté : salope soumise
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Mardi 4 juin 2 04 /06 /Juin 01:50
Nous sommes jeudi soir, 21h30, il fait chaud et humide. Maître et moi sortons, ce qui est très exceptionnel. J'ai mis un robe noire cache-coeur moulante, mes talons hauts rouges et mon collier de chienne. Je me suis fait un maquillage de soirée, je porte mon rouge à lèvres écarlate, ma peau est soyeuse et je suis parfumée. Je suis fébrile car nous sortons dans une boîte échangiste pour la toute première fois.

Nous arrivons tôt, comme le site Web de l'établissement le suggère, mais c'est en fait trop tôt, nous sommes les premiers. Une fois la carte de membre réglée, nous passons au bar commander un cocktail puis nous nous dirigeons vers un petit salon aménagé près du bar. Le décor est noir et rouge, la lumière et tamisée, l'ambiance est lounge. L'établissement consiste en une pièce avant composée du bar, d'une piste de danse, de fauteuils et canapés en retrait, et une pièce arrière composée d'une suite de lits de toutes tailles, de pièces semi fermées, de coussins éparpillés. De grands rideaux vaporeux entourent le tout.

Nous nous installons côte à côte sur un canapé et discutons. Petit à petit, des gens arrivent. Certains nous regardent, d'autres pas. Maître cherche un homme qui me prendra devant lui. Je serai un objet, une pute. Pour l'instant rien de plus précis comme scénario. Nous avons convenu de choisir un homme qui me plaira. Environ une heure après notre arrivée, quelque vingt personnes sont présentes. Deux hommes se dirigent vers nous et un s'installe sur le canapé voisin et nous sourit. Nous nous présentons (mais j'oublie son nom à présent) et discutons quelques minutes. Je souris à mon Maître et lui transmets du regard que cet homme me plaît bien.

Il est plus petit que moi mais, à 173 cm, je suis grande. Il est plus jeune, basané, souriant et semble en forme. Lorsque nous lui disons que c'est notre première fois, il nous offre de nous faire visiter l'endroit, qu'il connait plutôt bien. Une fois la visite terminée, et après quelques caresses furtives à mon dos et mes fesses, nous revenons nous asseoir et continuons de faire connaissance. Rapidement, nous nous mettons d'accord sur les modalités et l'étranger m'embrasse. Sa main caresse mes cuisses et remonte jusqu'à ma chatte rapidement. J'écarte docilement les jambes. Je veux que Maître soit fier de moi et je vois dans ses yeux qu'il l'est.

Après quelques minutes de baisers et de caresses pendant que Maître tient ma main, nous quittons ensemble le petit salon et passons à l'arrière. L'étranger nous guide vers une pièce exigüe, vitrée sur deux côtés et où des ouvertures sont découpées dans les murs. La pièce est en fait un lit, mur à mur. L'étranger entre, je le suis, et Maître ferme la marche. Maître s'installe près de la porte, au "pied," alors que ma tête est de l'autre côté. Tout au long de cette expérience, je serai en communication avec mon Maître et il me touchera, me caressera la jambe, me prendra la main. Je suis aveuglée par un luminaire au plafond. La lumière dans les yeux, j'ai peu conscience de ceux qui me regardent de l'extérieur, c'est très flou pour moi. Maître me racontera plus tard qu'il y avait plusieurs hommes et un couple qui nous observaient attentivement et nous encourageaient.

L'étranger m'embrasse pendant quelques minutes et nous nous caressons. Nous nous dévêtons plutôt rapidement, puis il enfouit un peu maladroitement deux doigts dans ma chatte pendant que nos langues s'entremêlent. Une fois le bon rythme trouvé, j'y prends plaisir. Je regarde mon Maître, lui souris, puis je ferme les yeux. L'étranger retire ses doigts de ma chatte et prends mon cul de ses doigts, mais le va-et-vient est un peu trop rapide à mon goût et je n'arrive pas à lui transmettre le bon rythme. Je me déplace donc devant lui et prends sa queue bien en main. Je le caresse mais il m'arrête avant longtemps. Je descends sur lui et le prends dans ma bouche. Sa queue est courte mais large, et il est sans poil. Je le suce un peu, à quatre pattes devant lui. Mon Maître me caresse les fesses et la chatte pendant ce temps, me dirige et m'encourage. L'étranger m'arrête bientôt, sur le point de jouir.

Peu après, je suis sur le dos. Maître dit à l'étranger : "Défonce-la!" Il s'exécute après avoir enfilé un préservatif. C'est à ce moment que mon Maître me pointe le bout du lit, juste au-dessus de moi, à ma droite : une queue est apparue dans une des ouvertures. Il m'ordonne de la saisir et de m'en occuper. Je l'attrappe donc de ma main droite et la branle pendant que l'étranger me baise. Après quelques courtes minutes, il jouit et se retire. Je n'ai pas joui, faute de temps, mais j'ai quand même pris du plaisir, et ce, malgré la nature plutôt étrange de cette aventure. Enfin, étrange pour moi, nouvelle venue du milieu.

Nous sommes partis presque immédiatement après avoir salué cet étranger. Sur le chemin du retour, nous avons discuté de l'expérience. Nous étions plutôt tièdes, pas mécontents, loin de là, mais pas non plus transportés par l'expérience. Mais Maître était fier de moi, fier que j'aie pu passer à l'acte, de me voir offerte à un autre comme une pute.

C'est pendant la nuit que les passions se sont réveillées... Elles n'ont pas dérougi depuis. Maître compte répéter l'expérience bientôt, plus scriptée, de manière à être en contrôle complet de la scène. Je serai heureuse de m'y prêter une nouvelle fois et de prouver ainsi ma dévotion à mon Maître ainsi que tout l'amour que je lui porte. Je vis pour être sa chienne.
Par SoumiseSarah - Publié dans : Journal intime - Communauté : salope soumise
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Jeudi 30 mai 4 30 /05 /Mai 04:14

SarahMaître, mon visage est maintenant sur mon blog. 

Votre Sarah

Par SoumiseSarah - Publié dans : Journal intime - Communauté : salope soumise
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Jeudi 30 mai 4 30 /05 /Mai 03:00

Ça ne s'est pas très bien passé ce soir. Enfin, pas si mal non plus, mais ce n'était pas idéal. Je ne suis pas très fière de moi. Enfin, si, un peu, mais j'ai déçu mon Maître et ça transforme ma petite fierté en échec.

 

Maître m'a demandé de mettre ma jupe de salope, de me faire un beau maquillage et de garder mon collier de chienne pour sortir pour une balade au parc près de chez nous. Je me suis exécutée et nous sommes sortis. Il était relativement tôt à mes yeux pour ce genre de balade, autour de 22h. Nous avons croisé des jeunes, des vieux, des sportifs, des songeurs, des gens à vélo, d'autres à pied. Je ne me sentais pas tellement regardée car, outre la jupe un peu courte, l'ensemble passait assez inaperçu dans la pénombre. De marcher main dans la main avec mon Maître me rassurait aussi, me donnait beaucoup de courage.

 

Étrangement, c'est le regard des autres, de ceux qui ne savent pas ce qui se passe qui me stresse le plus. Je crains la désapprobation, le regard critique. Je crains de me faire remarquer et pourtant, ordinairement, j'aime bien les marques d'attention. Je n'aurais pas cette même pudeur devant des gens qui "savent," qui sont des initiés, qui s'attendent même à me voir comme ça. Je n'aurais pas cette réticence à me faire toucher, même. Enfin...

 

À plusieurs reprise sur le chemin, Maître a relevé ma jupe et caressé mes fesses. Je me suis efforcée de regarder droit devant, de continuer d'avancer. Il y avait des gens autour, certains plus près que d'autres, mais son bras autour de moi me donnait de la force. Puis, Maître a trouvé un coin un peu plus sombre, près d'une haie, et nous nous sommes assis sur le banc. Un couple était dans l'herbe, un peu plus haut. Des marcheurs et des cyclistes passaient de temps à autre.

 

Une fois assis, Maître m'a ordonné de relever ma jupe et d'écarter les cuisses. Il m'a caressée de ses doigts chauds et m'a embrassée. Plusieurs personnes sont passées en ce qui m'a semblé un laps de temps plutôt court. J'ai parfois refermé les cuisses, à quelques reprises sans même m'en rendre compte. J'ai eu peur, j'ai eu honte. J'étais nerveuse, affolée, crispée. Je me suis mise à pleurer nerveusement. C'est alors que Maître m'a demandé si je voulais rentrer à la maison. J'ai hésité, joué avec l'idée de cette délivrance dans ma tête. Maître m'a dit que personne ne s'occupait de ce qui se passait sur ce banc de parc, et que, même si quelqu'un remarquait ce qui s'y passait, il n'en ferait rien puisque c'est ce que nous aurions fait nous-mêmes: nous aurions poursuivi notre chemin, au pire en passant un commentaire en riant, mais sans plus. J'ai compris qu'il avait raison, ma tête l'a bien compris, mais la nervosité était toujours là. Je m'en suis remise à lui, me rappelant que c'est bien ce que je devais faire de toute manière: m'en remettre à mon Maître. Mon hésitation avait cependant déjà gâché l'expérience.

 

photo--2-.JPGNous avons donc poursuivi. Maître m'a caressée pendant un long moment et j'ai joui sur le banc à deux reprises. J'ai fermé les yeux et m'en suis remise à lui mais ma nervosité, mon incertitude, ma retenue ont transpiré. Je n'ai pas vu dans ses yeux les étincelles que je souhaitais y voir. Pour terminer, je me suis caressée un peu et Maître a pris une photo, puis nous avons pris le chemin du retour. Nous avons discuté de l'expérience en rentrant. Malgré le déroulement aigre-doux, j'étais tout de même satisfaite d'être parvenue à faire ce que j'avais fait en public. D'accord, dans un parc, un soir de semaine, mais tout de même, je ne me croyais pas capable de le faire. J'ai surmonté quelque chose de très gros même si le déroulement n'a pas été fluide, n'a pas été idéal, n'a pas été comme prévu.

 

À notre retour chez nous, j'ai pleuré. J'ai bien senti la déception, je n'ai pas vu les étincelles que je voulais voir dans les yeux de mon Maître, et cela par ma faute. Je n'ai pas su me laisser assez aller, ma retenue, ma rigidité ont gâché l'expérience. Je m'en veux. J'aurais voulu des gifles et des fessées, ressentir physiquement la douleur que je ressentais émotivement.

 

Je suis désolée, Maître. Je serai meilleure la prochaine fois.

Par SoumiseSarah - Publié dans : Journal intime - Communauté : salope soumise
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Jeudi 30 mai 4 30 /05 /Mai 02:36

photo-1a.jpgphoto-2--4-.JPGAttachée, tout devient très simple.

 

Maître m'a attachée au lit dernièrement. Il a pris du plaisir à me voir ainsi soumise. J'ai pris du plaisir à l'être. Attachée, tout devient très simple. Je me donne toute entière et je reçois ce que Maître veut bien que je reçoive. Je ne peux toucher, je ne peux participer qu'en vivant l'expérience que Maître souhaite que je vive et chaque sensation est décuplée.

 

Oui, attachée, tout devient très simple.

Par SoumiseSarah - Publié dans : Journal intime - Communauté : salope soumise
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