Fantasmes

Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 04:14

J'ENTENDS DU BRUIT au loin. Je suis confuse. Dans tout mon inconfort, je m'étais tout de même assoupie. J'ai encore les yeux bandés mais je crois que je suis dans le noir de toute manière. J'ai toujours la boule dans la bouche et mes mains sont attachées à mes pieds. Je suis couverte, c'est sans doute la chaleur qui m'a apaisée car mon désir de jouir me rendait folle lorsque tu as retiré tes doigts de ma chatte. Je sens que ma mouille a coulé sur mes fesses et sur le lit. Le drap sous moi est froid et mouillé.

 

Ce bruit à nouveau. Quelle heure peut-il bien être? Tard dans la nuit maintenant, sans aucun doute. C'est le clavier de l'ordinateur de j'entends. Peu de temps après, tu ouvres la porte de la chambre, "Sarah, ma salope, tu dors? Réveille-toi!" Je remue; tu t'approches de moi, "Je reviens prendre ton cul de salope dans 2 minutes." 

 

Tu sors de la chambre et reviens avec du matériel que tu poses sur le grand bureau. Tu tires mes hanches vers le bout du lit et je sens que tu te branles au-dessus de moi. Je sens tes mouvements dans l'air, tu effleures mon ventre et ma chatte de temps à autre. Tu remues les pinces sur mes seins et caresse mon clitoris de ton pouce. Tu t'assures que je mouille bien, puis je te sens en moi. Ma chatte se contracte instantanément, comme si j'essayais de conserver à l'intérieur cet instrument de plaisir. Tu me pénètres d'une cadence régulière; je te sens bien, ta bite est bien dure et va jusqu'au fond de moi. Mes instants de sommeil et tout mon plaisir avant cela ont gonflé ma vessie. La sensation d'être bien pleine de toi en est augmentée. C'est bon! Je gémis sous la boule. 

 

"Ça te plaît ma grosse chienne?" J'opine furieusement et gémis de plus belle. "Ce n'est pas ton plaisir que je veux. C'est le mien." Tu sors de ma chatte et te positionne sur mon cul. Tu joues à y entrer et en ressortir d'un centimètre à peine. J'ai mal au début, puis je me détends et tu changes le rythme qui devient long et régulier. Je connais ce rythme, ça durera longtemps. J'aime tellement te sentir dans mon cul, c'est d'une volupté sans pareil. J'en veux toujours plus, plus vite, plus fort. Ce rythme est une véritable torture pour moi. Tu vas jusqu'au bout, ressort complètement, puis revient bien au fond, sans cesse. Ma chatte se contracte aux dixièmes de seconde. Si je contractais bien fort mes muscles pour mettre une pression sur mon point G, je pourrais jouir, je le sais. D'autant plus quema vessie est bien pleine, ce serait doublement rapide.

 

Mais je suis baillonnée avec cette boule et ne suis donc pas en mesure de demander la permission de jouir. Tu agites à nouveau les pinces sur mes mamelons et ton pouce revient sur mon clitoris. Je ne suis qu'une boule de sensations et d'excitation. Tu cesses de stimuler mon clitoris et insères tes doigts dans ma chatte bien trempée. "Tu mouilles comme une chienne en chaleur. Tu es trempée. Tu veux jouir, Sarah, n'est-ce pas?" Je gémis. Tu agites tes doigts en moi avec une forte pression sur mon point G. Rapidement, puis plus doucement, en alternance. Ta queue bien dure fait toujours son va-et-vient régulier dans mon cul. 

 

Je sens une chaleur intense, mon envie d'uriner semble irrépréssible. Je comprends que tu vas me faire éjaculer mais j'ai une telle envie d'uriner que j'ai très peur que tout vienne avec. J'essaie de me contrôler, de relaxer mes muscles, mais la sensation en est décuplée. "Jouis ma chienne!" Avant que je comprenne ce qui m'arrive, je sens un liquide chaud gicler et couler partout sur mes fesses. Seulement, le flot ne s'arrête pas. Oh non... C'est ma vessie qui se vide et je ne peux l'arrêter à temps. Tu vas en être innondé et moi aussi. Quelle honte... "Tu es une vraie salope, une vraie chienne de pisser comme ça comme bon te semble. Les animaux ne font pas pire que toi. Tu es dégueulasse!" Je ferme les yeux de honte sous mon bandeau même si cela ne sert à rien. Je reste immobile. Des larmes piquent mes yeux. Je sanglotte.

 

Tu t'agites plus rapidement dans mon cul maintenant, tu augmentes la cadence et bientôt, tu me défonces sans relâche. Après quelques instants, tu te retires et je t'entends jouir, "Oh oui, ma pute!" mais je ne sens pas la chaleur de tes giclées de sperme. À peine quelques secondes plus tard, tu badigeonnes mon visage de ta semence. Tu couvres mes joues et mes lèvres, mon cou et en déposes sur mes seins. Tu répands le tout en une couche bien uniforme qui devient vite froide et fige presque aussitôt. "Tiens ma pute! Tu as une haleine de pute, maintenant ton corps tout entier sent la pute, la pute et l'animal." 

 

J'adore me faire enduire de ce liquide précieux. Je ne vois pas plus grand honneur pour une chienne comme moi...

 

Presque immédiatement, je t'entends remuer le matériel que tu avais posé sur le bureau. Tu me reviens et, lentement, tu défais mes liens, retires la boule de ma bouche et découvre mes yeux. J'ai pleuré, mon maquillage est coulé. Tu masses mes poignets et mes chevilles et me prends dans tes bras. "Tu as été une bonne chienne ce soir, Sarah. Une bonne salope. Tu m'as donné beaucoup de plaisir. Et pas qu'à moi. Tu as bien fait jouir cette fille rousse. Et notre ami Claude, lui, en redemandera asurément." 

 

Je ne comprends pas. Claude? "Mon Maître, qui est Claude?" "Claude vient de me regarder te baiser et t'enculer comme la chienne que tu es. Il t'a vue ligotée, baillonnée et les yeux bandés. Il t'a vue jouir comme une salope, il a vu gicler ton plaisir et t'a vue te pisser dessus et m'innonder par la même occasion. Je le lui ai transmis par webcam, ma Sarah." Oh, quelle honte, c'est ce que je devrais penser... Mais en fait, je suis plutôt fière. Fière d'avoir plu à mon Maître et aussi à quelqu'un d'autre. C'est bien étrange... Tu vois mon regard pétillant et tu comprends ce qui se passe en moi. Tu me prends dans tes bras et m'embrasses.

 

"Va te laver, ma Sarah, je t'aime. Ensuite tu mettras de l'ordre dans la chambre et changeras ces draps."

 

"Oui, mon Maître adoré."

Par SoumiseSarah - Publié dans : Fantasmes - Communauté : salope soumise
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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 03:35

MON HALEINE DE PUTE t'a excité. Je sens ton corps tendu contre le mien, l'impatience de tes mains. J'aimerais pouvoir rentrer maintenant, que tu me prennes le cul comme la chienne que je suis. Je veux te satisfaire, te donner le plaisir qui te revient. Tu tires la laisse par devant et mes cheveux par derrière. Je suis immobilisée. Ta bouche s'empare de la mienne à nouveau, me dévore, me mord. Ta langue me fouille, ta salive coule sur mon menton, et moi, je mouille de plus belle. Je gémis et tu resserres ta poigne. C'est bon d'être à toi, je ne m'appartiens plus. Ma chatte se contracte toutes les secondes, mon cul aussi, le plug fait son effet. Soudainement, tu brises le contact et me tires en laisse dans la petite cour intérieure.

 

Là, des bancs de parc sont libres, d'autres sont occupés par des gens engagés dans diverses activités. C'est un mélange de tout mais avec un point en commun : des liens et des noeuds. Près de nous, certains caressent une femme attachée au banc, une maîtresse se fait lécher par son soumis aux mains attachées dans le dos, une esclave se fait enduire de cire chaude goutte à goutte alors qu'elle a les pieds et les mains liés. À ma droite, un petit groupe observe une scène complexe où un homme se fait ligoter de manière très élaborée. Tu fais un tour supplémentaire autour de mon cou avec la laisse, "Observe bien tout cela. C'est ce qui t'attend. Je te réduirai en trou pour mon plaisir." Et, sur ce, tu me tires vers la sortie du club jusqu'à la voiture.

 

En très peu de temps, nous sommes chez nous. Tu ne m'as pas remis le soutien-gorge pour que je couvre ma poitrine. Je remercie le ciel qu'il soit très tard... Une fois dans notre intimité, tu m'ordonnes de me mettre à genoux par terre dans la chambre et de t'attendre. Je m'exécute et tu me rejoins illico, cordes à la main. "Retire le plug de ton gros cul de chienne." Je passe mes doigts entre mes fesses, agrippe la portion extérieure et tire lentement jusqu'à ce qu'il sorte. Je te le remets et tu pars le laver dans la salle de bain. Mon cul est horriblement vide... "Monte sur le lit, Sarah, couche toi sur le dos." Je t'obéis. Tu attaches ma main gauche à mon pied gauche, et ma main droite à mon pied droit, puis tu sors de la chambre. Lorsque tu reviens, quelques minutes plus tard, tu es nu. Tu installes la boule dans ma bouche et attaches la sangle derrière ma tête, puis tu me bandes les yeux. Privée de ma vue. Je t'entendrai, ne sentirai que ton odeur, et ton toucher avec ma peau moite, ma chatte trempée et mon cul bien ouvert.

 

Quelques minutes passent puis je sens que tu t'approches de mon visage. C'est chaud. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour comprendre que tu frottes tout mon visage de ta bite bien chaude. Elle est dure et grosse. Puis, tu frottes et pinces mes mamelons bien fort. C'est bon... Tout à coup, c'est froid et intense. Tu as installé des pinces sur mes seins. Ça me plaît moins. Puis, tu prends appui sur mes cuisses ouvertes et je sens ton souffle sur ma chatte. "Tu sens la chatte de pute, de chienne en chaleur. Tu as mouillé comme jamais ce soir. Tu veux jouir, ma salope? Je suis certain que tu veux jouir." Je gémis. "Et pourtant, un simple trou à sperme ne jouit pas. Tu ne jouiras pas ce soir. Tu m'entends?" Je gémis en guise de réponse. "C'est un oui, j'espère, sinon tu cuiras sous une autre fessée." J'articule "Oui Maître," mais il ne sort de ma bouche qu'un son inintelligible.

 

Je te sens te repositionner puis tu pénètres ma chatte. "On ne sent rien dans ce trou de salope. Il est énorme, bien trop mouillé," et tu prends mon cul sans avertissement. Je gémis. "Silence! Un trou ne fait pas un bruit." Tu entreprends un va et vient régulier, qui dure longtemps. Puis, tu pousses mes genoux bien fort sur mes épaules et me défonce à un rythme fou. Tu pousses loin en moi, de plus en plus fort. Tu t'essouffles éventuellement, "Retourne-toi." Mes liens font en sorte qu'une fois sur le ventre, mon dos est bien cambré et mes fesses rondes et sorties. Tu m'assènes quelques claques, empoignes bien mes cheveux et ma laisse et tu es à nouveau en moi. Tu m'encules comme une chienne et c'est bon. Je suis à ton service, je suis ton objet, je suis ton trou. Ta cadence change, tu vas bientôt jouir, "Oh oui, tu m'appartiens, je vais t'en mettre plein le cul." Et tu jouis bien au fond de mon cul de chienne.

 

Tu relâches la laisse et mes cheveux, te retires et sors te nettoyer. Je suis toujours sur le ventre, le cul bien haut. Lorsque tu reviens, tu me retournes sur le dos et insère plusieurs doigts dans ma chatte. Je gémis. "Silence, sinon j'arrête." Je m'efforce de maintenir le silence. Tu effectues des mouvements de va-et-vient sur mon point G et agites les pinces sur mes mamelons de ton autre main. Je sens l'orgasme monter rapidement, toi aussi, et tu arrêtes juste avant. J'y étais presque, crispée, silencieuse. Tu sens bien les contractions de ma chatte et vois tout le jus qui coule. "C'est bien mon trou." 

 

Je suis frustrée! Agitée. Mais tu ne me détaches pas. Tu me couvres, sors de la chambre et refermes la porte sur moi.

Par SoumiseSarah - Publié dans : Fantasmes - Communauté : salope soumise
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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 03:32

TU M'EMMÈNES PLUS LOIN dans une autre pièce bondée. Plusieurs personnes nous regardent entrer et c'est alors que je réalise que j'aime être à ta main, en laisse. Je suis fière du regard que posent les autres sur moi. Je suis une bonne chienne, une bonne esclave. Vous avez-vu le magnifique collier auquel j'ai droit? Et mon plug au cristal précieux? Vous imaginez un peu toutes les saloperies que j'ai faites de mon plein gré pour les mériter? Il est beau mon Maître, non? J'ai de la chance d'avoir un Maître comme lui. Je suis fière de mériter son attention. Je marche en dandinant bien les fesses, épaules en arrière, seins fièrement bien hauts. Mes yeux pétillent. Je mouille comme une salope et ça se répand partout sur mes cuisses et entre mes fesses.

 

Dans cette pièce, des anneaux pendent du plafond et plusieurs esclaves y sont attachés par les poignets. Certains se font pincer les seins ou branler par leur maître, d'autres se font fouetter, une esclave aux cheveux roux et à la peau blanche se fait fouetter le cul et le dos pendant qu'on lui pince les seins. Elle est trempée. Je me surprend à l'envier.

 

Tu me tires en avant bien fermement pour m'amener juste à côté d'elle. Tu attaches mes poignets à l'anneau et pinces mes seins très fort. À l'oreille, tu me dis, "Regarde-la." Je mouille comme une chienne en chaleur. Elle m'excite, cette fille. 

 

Tu relèves ma jupe sur mes fesses. Tu passes derrière moi et me donne dix bonnes claques sur mon gros cul de salope. Je la regarde se faire fouetter, se faire pincer les seins. Ses yeux sont à demi ouverts. Tes doigts sondent ma chatte trempée, me pénètrent avec force et rapidité, puis, avant que je puisse même gémir, tu me frappes à nouveau de ta main ouverte. Un, deux, dix coups. Mon cul est bien chaud, sans doute bien rose. Une autre pause, tu pinces mes seins. Les gens qui me regardent n'ont pas de visage pour moi. Ils ne sont que témoins anonymes de mon abandon, de mon excitation. Certains se branlent mutuellement, d'autres sont seuls. Je suis fière de faire partie d'un tel spectacle. Et je veux que tu sois fier de moi. Je m'efforce de rester tendue, fesses bien sorties. Tu reprends la fessée de plus belle, main bien ouverte. Encore dix coups, dix coups qui résonnent dans ma chatte, dans mon cul. Tu remues bien le plug. "Si tu m'obéis, je t'enculerai comme tu le mérites à notre retour." "Oui, Maître."

 

La fille devant moi se trémousse, je reporte mon attention sur elle. Elle veut jouir. Tu vois l'excitation dans mes yeux. "Ça t'excite de voir une autre chienne en chaleur? Elle mouille comme une salope. Son maître t'autorise à la faire jouir et, moi, je te l'ordonne. Je vais te détacher de l'anneau et tu la feras jouir avec ta bouche de pute. Tu boiras tout, elle devra être bien nettoyée." Des souvenirs de chatte mouillée se bousculent dans ma tête, ça ne m'avait pas particulièrement plu à l'époque, mais je dois dire qu'elle m'excite. J'ai envie de la faire jouir comme moi j'aimerais jouir. Je n'ai pas le loisir d'y penser davantage que tu me tires à elle et me pousses à genoux. Elle sent la chatte mouillée... et le sperme! Je n'avais pas entrevu cette possibilité... Je m'exécute malgré mon instinct d'hésiter : je veux son plaisir plus que tout, et aussi le mien plus tard, quand tu défonceras mon cul comme une salope.

 

Je suis à genoux devant elle, mes mains sur mes cuisses, mon cul rosi bien sorti pour exhiber ce magnifique plug dont je suis fière. Tu tiens la laisse bien serrée, tu regardes de près ce que je fais. Ma bouche s'approche de sa chatte et j'y enfouis la langue. Son goût est salé et fort, mêlé de l'amertume du sperme. Elle a la chatte bien pleine... J'avalerai tout, tu seras fier. 

 

Elle bouge au rythme de ma langue sur son clitoris et ça m'excite de lui procurer du plaisir. Je pousse mon visage entier dans sa chatte mouillée, mon menton et mon nez sont de la partie. Je suce ses lèvres, puis j'enfouis ma langue à l'intérieur de sa chatte et lèche tout le sperme qui en sort. Puis je prends son clitoris entre mes lèvres et je suce tout en le caressant du bout de ma langue. Elle s'agite sur mon visage de plus en plus, respire de plus en plus vite. Qu'est-ce que ça m'excite... ma chatte se contracte au même rythme que la sienne et le plug me rend folle. J'augmente la cadence et elle jouit dans ma bouche. Je suis certaine que j'ai failli jouir en même temps qu'elle. Je lèche avidement tout son plaisir et tout le sperme qui continue de s'écouler de sa chatte. Lorsque je redresse la tête, elle est bien propre, et moi, je gis dans une mare d'excitation.

 

Tu tires sur la laisse et je me relève. "Merci, Maître." Tu me conduis à l'écart et ta bouche s'empare de la mienne. Tu te presses contre moi. Tu goûtes le plaisir de cette fille et le sperme de celui ou ceux qui ont eu du plaisir grâce à elle. Je sens ta bite bien dure sur moi. Oh oui, mon Maître m'enculera comme une chienne plus tard... 

Par SoumiseSarah - Publié dans : Fantasmes - Communauté : salope soumise
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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 03:29

L'ORDRE EST VENU sans que je m'y attende, un vendredi soir. Nous étions en pyjama et l'épisode de la série du moment venait de se terminer. "Va te doucher et te faire salope, nous allons sortir." Je suis perplexe, "Sortir? Mais où?" Tu ne me réponds pas et ton regard s'impatiente. D'accord... je cours à la salle de bain, me douche, me fait douce. Puis je me coiffe et applique mon maquillage de salope: yeux noirs, lèvres écarlates. 

 

Lorsque je sors, tu as placé sur notre lit les vêtements que tu veux que je porte. Il y a ma jupe noire mi-cuisse, un soutien-gorge pigeonnant rouge, mon corset noir style cuir et mes chaussures rouges à talons très hauts. Pas de bas et pas de culotte. Une petite boîte attire mon attention au milieu de tout cela. Un bijou? Tu me la tends; je retiens mon souffle en l'ouvrant... un collier en cuir noir, serti de petites pierres brillantes, avec un anneau. Je remarque la laisse assortie dans ta main. "Tu es mon esclave, ma chienne, je te promènerai comme telle ce soir." Mes yeux s'écarquillent, tu souris. "N'aie pas peur, nous allons dans un endroit pour ça." Je comprends alors que tu m'emmènes ce soir dans un endroit pour fétichistes de toutes sortes, comme nous. Une petite partie de moi relaxe un peu, une plus grande partie est très excitée.

 

Je m'habille soigneusement. Le soutien-gorge me fait une jolie poitrine. J'enfile les chaussures, la jupe et le corset que tu resserres pour moi. Tu places le collier autour de mon cou, anneau bien en vue, "J'y accrocherai la laisse là-bas." Tu portes un pantalon noir et une chemise noire, très sexy mon Maître. Lorsque je suis prête, tu me remets le plug, "Ça t'aidera à ne pas oublier que tu n'es qu'un trou, qu'un jouet pour moi." Avec une petite quantité de lubrifiant, j'insère le plug. Je serai trempée dans quelques minutes... il sera impossible pour moi de penser à autre chose. Quelle soirée en perspective...

 

Nous sortons et faisons quelques minutes en voiture pour nous garer devant un édifice aux fenêtres à lourdes tentures bien opaques. La porte s'ouvre à notre arrivée. La musique est forte, l'atmosphère tamisée. Tu parles avec le portier et lui remet une somme, il nous invite à l'intérieur. Avant de franchir le portique, tu accroches la laisse à mon collier et défait mon soutien-gorge qui finit son court trajet dans ta poche. Tu pinces mes seins légèrement, puis plus fort, et tu me guides à l'intérieur.

 

Je suis tendue, nerveuse et timide mais le plug dans mon cul bouge au rythme de ma démarche en talons hauts et je sens une chaleur liquide se répandre sur ma chatte et mes cuisses. Alors que nous avançons parmi les gens, mon attention se porte finalement sur ce qui se passe autour de nous. Certains dansent, d'autres se caressent, d'autres encore observent les jeux des autres. La plupart des femmes sont en tenue semblable à la mienne, partiellement nues. Certains hommes aussi. Il y a des tenues de latex, beaucoup de cuir, de la dentelle ici et là. Plusieurs autres sont en laisse, comme moi. Ta main se faufile sous ma jupe pendant que j'observe mon entourage. Tu agites le plug et caresses mes fesses, m'assènes une claque, "Marche derrière moi."

 

Tu m'emmènes plus loin, laisse bien tendue. Tu repères un fauteuil parmi d'autres faisant face à une petite scène où une esclave est au centre de plusieurs hommes qui se masturbent. Tu t'assois et m'indique de m'asseoir sur tes genoux. Tu regardes droit devant alors que les hommes frottent leurs bites bien dures au-dessus de la jolie fille. "Regarde!" Tu pinces mes seins d'une main et l'autre fouille ma chatte bien mouillée. Je te sens durcir sous mes fesses. Ça m'excite terriblement. Tes doigts font des cercles sur mon clitoris, "Jouis comme si c'était toi qui allait recevoir tout ce sperme." Je remue un peu les fesses, je sens bien le plug, c'est terriblement bon. Devant moi, les hommes ont accéléré la cadence et leurs visages sont tendus. "Un jour ce sera toi. Tu le feras pour moi, que ça te plaise ou non." Tes doigts me pénètrent et tu tends bien la laisse. Je jouis en même temps que les hommes, sans retenue.

 

"C'est bien ma salope. Ça t'excite de voir ce qui t'arrivera bientôt?" "Oui, Maître." "Quelle pute tu es!!" "Oui Maître, merci Maître." Tu me caresses les cheveux, "C'est bien, tu es une bonne chienne." La fille devant nous commence à se relever. Son visage, ses seins et ses cuisses sont couverts de sperme. Elle se lève et sort de la pièce. "Viens me chevaucher." Je m'exécute, je grimpe sur toi. Ta fermeture-éclair est ouverte et ta queue bien gonflée et bien dure pénètre ma chatte maintenant trempée. Des gens pourraient tout voir, je me dis que ce n'est probablement pas permis, même dans ce type de club. Tu lis l'angoisse sur mon visage, "Non, ce n'est pas permis, c'était pour voir si tu allais m'obéir." Tu me repousses, "Tu es une bonne chienne, tu méritais bien ton collier. Voyons plutôt ce qu'il y a d'autre ici..."

Par SoumiseSarah - Publié dans : Fantasmes - Communauté : salope soumise
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Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 03:19

TOUT A COMMENCÉ lorsque nous avons quitté la maison tôt le matin pour aller au boulot. Tu m'as dit, "Prépare-toi, ce sera une soirée bien spéciale." mais sans élaborer. J'étais intriguée, bien sûr, et toute la journée je t'ai harcelé de questions, sans succès. Tu m'as seulement dit que tu savais que je le voulais, que ce serait difficile mais ô combien satisfaisant.

 

Tu m'as demandé ma culotte bien mouillée juste avant que nous quittions le bureau. Je suis docilement allée aux toilettes, et là j'ai pincé mes seins et me suis masturbée jusqu'à ce que je sois trempée, mais sans jouir. J'ai imbibé ma culotte de mouille pour toi et je suis sortie, cul nu sous ma jupe, pour te remettre ce que tu voulais en mains propres. Tu l'as reniflée pour être certain que je n'avais pas manqué à ta demande puis, satisfait, tu l'as rangée en boule dans ta poche.

 

Nous avons quitté le bureau et pris le métro. Une fois à bord, debout dans la foule à l'heure de pointe, tu me dis à voix haute, à la portée de bien des oreilles, "Ce soir, tu seras mon esclave comme tu ne l'as jamais été auparavant. Je ferai de toi ce que je veux, je te prendrai comme bon me semble, je te laisserai comme bon me semble, et tu n'auras rien d'autre que ma bite à manger et mon sperme à boire."

 

Je déglutis à la pensée de tout ce que cela signifie, et je mouille comme une salope. Tu le sais et, dans l'illusion d'intimité que procure la masse de gens autour de nous, ta main se faufile sous ma jupe et tu caresses ma chatte bien chaude. Mon regard s'affole, je pourrais te dire non, mais j'ai promis de t'obéir en public si cela ne risque pas de me nuire. Tu passes un bras autour de ma taille pendant que tes doigts font des cercles sur mon clitoris bien gonflé, puis me pénètrent brièvement. Mais le métro s'arrêtera bientôt et tu lâches prise. Nous sortons et marchons jusque chez nous.

 

Une fois la porte de notre appartement refermée, tu me dis, "Je vais sortir 20 minutes. À mon retour, je te veux en tenue de salope, corset, bas et chaussures, bien maquillée, le cul lavé. Tu m'attendras à genoux par terre, ton front sur le sol, le cul en l'air et les mains dans le dos. Et tu ferais bien d'être mouillée." Et tu pars sans dire un mot de plus.

Je m'exécute en quatrième vitesse et je t'attends, en position, au pied de notre lit. Seulement, tu n'arrives pas. Je perds un peu la notion du temps dans mon excitation mais il doit bien s'être passé une heure depuis ton départ maintenant. J'angoisse. "Va-t-il me laisser ainsi longtemps? Devrais-je me relever, l'appeler? Que se passe-t-il?" Puis, j'entends tes clés dans la porte. Tu entres et viens me voir. Je suis prête pour toi. Tellement heureuse que tu sois de retour! Je supporte mal d'être loin de mon Maître. J'ai mal aux genoux, mes bras sont las d'être dans mon dos, mais je suis heureuse que tu sois enfin là. Tu me regardes mais ne dis rien, puis tu sors de la chambre et je t'entends dans la salle de bain, tu prends une douche. 

 

Lorsque tu reviens, quelques minutes plus tard, je sens ta main sur mes fesses. Tu me caresses un peu, vérifie que je suis bien mouillée pour toi (en vérité, je suis trempée). Tu me relèves, t'assois sur le lit et me demande de me coucher en travers, sur tes genoux. "Oui Maître," et je m'exécute, mains derrière la tête, comme tu m'as appris à le faire. Sans perdre une seconde, tu me donnes une fessée, main bien ouverte. Chaque claque résonne dans ma chatte de salope, et je mouille. Après quelques envolées, tu me dis, "Compte bien les coups et remercie-moi gentiment chaque fois. Il y en aura dix et tu t'en souviendras toute la journée demain." J'anticipe le premier coup, fesses tendues sans m'en rendre compte, "Un! Merci Maître." Tu m'intimes de détendre mon cul de grosse salope sans quoi il y aura vingt coups. Je me détends et je sais que ça fera plus mal dorénavant. "Deux! Merci Maître." Je mouille comme une salope... "Trois! Merci Maître." Je sens ta bite gonfler sous mon ventre, tu es chaud, c'est rassurant. "Quatre! Merci Maître." Mais je suis trop détendue, tu t'en aperçois. Le prochain coup est très fort et m'arrache un gémissement. "Silence ou ce sera plus fort." Des larmes piquent mes yeux. "Cinq! Merci Maître." Mes fesses sont en feu. Je les sens bouillantes. Je pleure au pincement du sixième coup, "Six! Merci Maître." Je pleure mais je mouille comme une chienne. Tu as tout le pouvoir sur moi et toute ma confiance, c'est grisant de me laisser aller. "Sept! Merci Maître." J'ai mal. "Huit! Merci Maître." Très mal. Est-ce que je peux prendre le neuvième? Sans que j'ai plus de temps pour y songer, le coup arrive. "Neuf! Merci Maître." Mon cul est à toi. Tu en fais ce que tu veux, je ne m'appartiens plus. "Dix! Merci Maître." Je suis en sanglots. 

 

Tu caresses mes cheveux d'une main et ma chatte de l'autre, tu enfouis tes doigts en moi. Je me calme petit à petit. "Tu mouilles comme une chienne! Tu aimes les fessées? Qu'est-ce qu'on pourrait faire d'autre à ton cul..." et je sens tes doigts sur mon anus, un objet froid et d'un coup, tu y insères le plug. Une douleur vive mais très courte, puis je me sens pleine. "Remets-toi par terre, à genoux comme tout à l'heure. C'est ça. Maintenant bouge ton cul. Bouge et ne t'arrête pas!" Je bouge et je suis perdue dans l'excitation que ça me procure. Mes fesses sont en feu, ma chatte est trempée et gonflée, mon clitoris est tendu, mon cul est rempli du plug. Ça résonne en moi comme une mer de sensations. Tout à coup, je sens que tu n'es plus là. Tu es dans la cuisine, je t'entends remuer des choses. Tu manges?

 

Après quelque temps, je me risque à gémir pour attirer ton attention; je n'oserais pas parler. "Tu crois que je vais venir? Détrompe toi. Viens jusqu'ici à quatre pattes. Tu mouilles comme une chienne, maintenant marche comme une chienne." Je sors de la chambre à quatre pattes. Me dirige vers toi. "Quelle chienne tu fais! Ton maquillage est coulé, tes cheveux sont en battaille. Tu as filé tes bas en te rendant ici. Je vais devoir sévir à nouveau." "Je suis désolée, Maître." "Tu te crois assez bonne pour moi?" "Non Maître, mais je ferai tout ce qu'il faut." Tu t'approches de moi et remues le plug, je garde les yeux au sol mais je bouge mon cul. "Tes fesses sont bien rouges. Tu as mal?" "Oui Maître." Tu me diriges vers le salon. Je vois le martinet sur la table. Oh non... Tu me positionnes à genoux, face à toi et pousse ta bite dans ma bouche. Tu fouettes mon dos avec le martinet alors que je te suce sans relâche. Ta queue est bien dure et bien grosse. Tu varies l'intensité des coups de fouet, ce qui me garde très alerte. Je mouille de t'avoir dans ma bouche ainsi. Tu pousses jusqu'au fond de ma gorge, jusqu'à m'étouffer. "Quelle pute! Ton allure de chienne des ruelles va bien avec tes talents de suceuse. Je pourrais te louer à bon prix juste au coin de la rue." Tu replaces le martinet sur la table, attrappes ma tête à deux mains et ma bouche n'est plus qu'un trou pour te satisfaire. Ton va et vient s'accélère puis ralentit, et s'accélère à nouveau. Je réalise alors que tu ne jouiras pas maintenant, tu te sers de moi pour ton plaisir, c'est tout. Lorsque tu quittes ma bouche, je ne sens plus ma mâchoire. J'ai mal mais je mouille de t'avoir procuré du plaisir.

 

Tu te tournes vers moi, "Va dans la chambre, je te veux allongée sur le dos sur le lit." Tu montes sur moi, me chevauche à la taille. "Je vais jouir sur toi, sur ton visage de salope." Tu te masturbes au dessus de moi, tout près de mon visage. Je sens l'odeur de ta bite, sa chaleur qui frôle mes lèvres et ma joue. Je vois monter le plaisir sur ton visage. "Tu n'es qu'une salope, une pute, une chienne. Tu ne mérites pas qu'on te prenne. Tu ne sers qu'à recevoir du sperme." Tu prends alors mon visage de ta main libre et tu m'innondes de sperme que tu répands ensuite de tes doigts sur mes lèvres, dans ma bouche, partout sur mon visage. Puis, tu attaches mes mains au-dessus de ma tête, et tu me laisses encore une fois.

 

Je ne sais pas combien de temps tu me laisses ainsi. Je crois que je dors un peu, je perds la notion du temps. Je redeviens consciente lorsque je sens que tu prends mes chevilles et plies mes jambes pour ramener mes genoux à mes épaules. Je réalise que mon visage est figé sous le sperme qui le recouvre. Puis je sens ta main sur mes fesses, tu tires sur le plug et le retires. Je suis maintenant bien réveillée. Je me sens vide tout à coup mais ce sera bref. "J'ai envie d'un trou," dis-tu. Tu t'appuies sur mes jambes et tu prends mon cul de force. J'ai mal mais la douleur se transforme très rapidement en plaisir. Tu me défonces sans égard pour mon plaisir. Tu t'essoufles sur moi dans tous les angles. Il n'y a pas de doute, mon cul t'appartient. Je suis trempée, j'en ai plein les cuisses, et ça coule le long de mes fesses. Je demande, "Maître, est-ce que je peux jouir?" Tu me réponds non, et tu continues de plus belle. Ma chatte se contracte à un rythme fou, je sens que je ne pourrai pas retenir mon orgasme bien longtemps... et tu t'arrêtes. Tu sors de mon cul, tu jouis sur ma poitrine et m'en badigeonnes les seins. "Tu sens le sperme, ma salope. Tu sens la pute!" Puis tu m'abandonnes à nouveau.

 

Cette fois, je dors profondément. Lorsque je me réveille, tu es à me détacher les mains. J'ai chaud car tu m'as couverte et, malgré certaines douleurs, je suis plutôt bien. Tes mains caressent mes seins maintenant figés sous ton sperme. Tu pinces bien fort. Je remouille instantanément. Je ne sais plus quelle heure il est, quel jour même, mais je sais que je veux jouir. Je me trémousse un peu malgré moi. Tes doigts me pénètrent. Deux, trois, puis quatre s'affairent sur mon point G. Mon corps se tend rapidement, tous mes sens éveillés par ta main experte qui est sans pitié. Tu m'empoignes les cheveux de ton autre main et tires fort, ton regard cherche le mien, "Jouis maintenant, comme une grosse salope. Je veux t'entendre!" Je ne peux plus attendre et j'explose en criant haut et fort, "Oui Maître, je suis une salope!" et tout s'embrume, les vagues ne cessent de déferler. Tu me prends dans tes bras et m'embrasses, me caresses les cheveux, "C'est bien ma chérie, je t'aime, tu as bien fait ça." Je m'endors contre toi, couverte de sperme, cheveux épars, maquillage ruiné, bas filés... et heureuse.  

Par SoumiseSarah - Publié dans : Fantasmes - Communauté : salope soumise
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