Mardi 14 mai 2 14 /05 /Mai 03:19

TOUT A COMMENCÉ lorsque nous avons quitté la maison tôt le matin pour aller au boulot. Tu m'as dit, "Prépare-toi, ce sera une soirée bien spéciale." mais sans élaborer. J'étais intriguée, bien sûr, et toute la journée je t'ai harcelé de questions, sans succès. Tu m'as seulement dit que tu savais que je le voulais, que ce serait difficile mais ô combien satisfaisant.

 

Tu m'as demandé ma culotte bien mouillée juste avant que nous quittions le bureau. Je suis docilement allée aux toilettes, et là j'ai pincé mes seins et me suis masturbée jusqu'à ce que je sois trempée, mais sans jouir. J'ai imbibé ma culotte de mouille pour toi et je suis sortie, cul nu sous ma jupe, pour te remettre ce que tu voulais en mains propres. Tu l'as reniflée pour être certain que je n'avais pas manqué à ta demande puis, satisfait, tu l'as rangée en boule dans ta poche.

 

Nous avons quitté le bureau et pris le métro. Une fois à bord, debout dans la foule à l'heure de pointe, tu me dis à voix haute, à la portée de bien des oreilles, "Ce soir, tu seras mon esclave comme tu ne l'as jamais été auparavant. Je ferai de toi ce que je veux, je te prendrai comme bon me semble, je te laisserai comme bon me semble, et tu n'auras rien d'autre que ma bite à manger et mon sperme à boire."

 

Je déglutis à la pensée de tout ce que cela signifie, et je mouille comme une salope. Tu le sais et, dans l'illusion d'intimité que procure la masse de gens autour de nous, ta main se faufile sous ma jupe et tu caresses ma chatte bien chaude. Mon regard s'affole, je pourrais te dire non, mais j'ai promis de t'obéir en public si cela ne risque pas de me nuire. Tu passes un bras autour de ma taille pendant que tes doigts font des cercles sur mon clitoris bien gonflé, puis me pénètrent brièvement. Mais le métro s'arrêtera bientôt et tu lâches prise. Nous sortons et marchons jusque chez nous.

 

Une fois la porte de notre appartement refermée, tu me dis, "Je vais sortir 20 minutes. À mon retour, je te veux en tenue de salope, corset, bas et chaussures, bien maquillée, le cul lavé. Tu m'attendras à genoux par terre, ton front sur le sol, le cul en l'air et les mains dans le dos. Et tu ferais bien d'être mouillée." Et tu pars sans dire un mot de plus.

Je m'exécute en quatrième vitesse et je t'attends, en position, au pied de notre lit. Seulement, tu n'arrives pas. Je perds un peu la notion du temps dans mon excitation mais il doit bien s'être passé une heure depuis ton départ maintenant. J'angoisse. "Va-t-il me laisser ainsi longtemps? Devrais-je me relever, l'appeler? Que se passe-t-il?" Puis, j'entends tes clés dans la porte. Tu entres et viens me voir. Je suis prête pour toi. Tellement heureuse que tu sois de retour! Je supporte mal d'être loin de mon Maître. J'ai mal aux genoux, mes bras sont las d'être dans mon dos, mais je suis heureuse que tu sois enfin là. Tu me regardes mais ne dis rien, puis tu sors de la chambre et je t'entends dans la salle de bain, tu prends une douche. 

 

Lorsque tu reviens, quelques minutes plus tard, je sens ta main sur mes fesses. Tu me caresses un peu, vérifie que je suis bien mouillée pour toi (en vérité, je suis trempée). Tu me relèves, t'assois sur le lit et me demande de me coucher en travers, sur tes genoux. "Oui Maître," et je m'exécute, mains derrière la tête, comme tu m'as appris à le faire. Sans perdre une seconde, tu me donnes une fessée, main bien ouverte. Chaque claque résonne dans ma chatte de salope, et je mouille. Après quelques envolées, tu me dis, "Compte bien les coups et remercie-moi gentiment chaque fois. Il y en aura dix et tu t'en souviendras toute la journée demain." J'anticipe le premier coup, fesses tendues sans m'en rendre compte, "Un! Merci Maître." Tu m'intimes de détendre mon cul de grosse salope sans quoi il y aura vingt coups. Je me détends et je sais que ça fera plus mal dorénavant. "Deux! Merci Maître." Je mouille comme une salope... "Trois! Merci Maître." Je sens ta bite gonfler sous mon ventre, tu es chaud, c'est rassurant. "Quatre! Merci Maître." Mais je suis trop détendue, tu t'en aperçois. Le prochain coup est très fort et m'arrache un gémissement. "Silence ou ce sera plus fort." Des larmes piquent mes yeux. "Cinq! Merci Maître." Mes fesses sont en feu. Je les sens bouillantes. Je pleure au pincement du sixième coup, "Six! Merci Maître." Je pleure mais je mouille comme une chienne. Tu as tout le pouvoir sur moi et toute ma confiance, c'est grisant de me laisser aller. "Sept! Merci Maître." J'ai mal. "Huit! Merci Maître." Très mal. Est-ce que je peux prendre le neuvième? Sans que j'ai plus de temps pour y songer, le coup arrive. "Neuf! Merci Maître." Mon cul est à toi. Tu en fais ce que tu veux, je ne m'appartiens plus. "Dix! Merci Maître." Je suis en sanglots. 

 

Tu caresses mes cheveux d'une main et ma chatte de l'autre, tu enfouis tes doigts en moi. Je me calme petit à petit. "Tu mouilles comme une chienne! Tu aimes les fessées? Qu'est-ce qu'on pourrait faire d'autre à ton cul..." et je sens tes doigts sur mon anus, un objet froid et d'un coup, tu y insères le plug. Une douleur vive mais très courte, puis je me sens pleine. "Remets-toi par terre, à genoux comme tout à l'heure. C'est ça. Maintenant bouge ton cul. Bouge et ne t'arrête pas!" Je bouge et je suis perdue dans l'excitation que ça me procure. Mes fesses sont en feu, ma chatte est trempée et gonflée, mon clitoris est tendu, mon cul est rempli du plug. Ça résonne en moi comme une mer de sensations. Tout à coup, je sens que tu n'es plus là. Tu es dans la cuisine, je t'entends remuer des choses. Tu manges?

 

Après quelque temps, je me risque à gémir pour attirer ton attention; je n'oserais pas parler. "Tu crois que je vais venir? Détrompe toi. Viens jusqu'ici à quatre pattes. Tu mouilles comme une chienne, maintenant marche comme une chienne." Je sors de la chambre à quatre pattes. Me dirige vers toi. "Quelle chienne tu fais! Ton maquillage est coulé, tes cheveux sont en battaille. Tu as filé tes bas en te rendant ici. Je vais devoir sévir à nouveau." "Je suis désolée, Maître." "Tu te crois assez bonne pour moi?" "Non Maître, mais je ferai tout ce qu'il faut." Tu t'approches de moi et remues le plug, je garde les yeux au sol mais je bouge mon cul. "Tes fesses sont bien rouges. Tu as mal?" "Oui Maître." Tu me diriges vers le salon. Je vois le martinet sur la table. Oh non... Tu me positionnes à genoux, face à toi et pousse ta bite dans ma bouche. Tu fouettes mon dos avec le martinet alors que je te suce sans relâche. Ta queue est bien dure et bien grosse. Tu varies l'intensité des coups de fouet, ce qui me garde très alerte. Je mouille de t'avoir dans ma bouche ainsi. Tu pousses jusqu'au fond de ma gorge, jusqu'à m'étouffer. "Quelle pute! Ton allure de chienne des ruelles va bien avec tes talents de suceuse. Je pourrais te louer à bon prix juste au coin de la rue." Tu replaces le martinet sur la table, attrappes ma tête à deux mains et ma bouche n'est plus qu'un trou pour te satisfaire. Ton va et vient s'accélère puis ralentit, et s'accélère à nouveau. Je réalise alors que tu ne jouiras pas maintenant, tu te sers de moi pour ton plaisir, c'est tout. Lorsque tu quittes ma bouche, je ne sens plus ma mâchoire. J'ai mal mais je mouille de t'avoir procuré du plaisir.

 

Tu te tournes vers moi, "Va dans la chambre, je te veux allongée sur le dos sur le lit." Tu montes sur moi, me chevauche à la taille. "Je vais jouir sur toi, sur ton visage de salope." Tu te masturbes au dessus de moi, tout près de mon visage. Je sens l'odeur de ta bite, sa chaleur qui frôle mes lèvres et ma joue. Je vois monter le plaisir sur ton visage. "Tu n'es qu'une salope, une pute, une chienne. Tu ne mérites pas qu'on te prenne. Tu ne sers qu'à recevoir du sperme." Tu prends alors mon visage de ta main libre et tu m'innondes de sperme que tu répands ensuite de tes doigts sur mes lèvres, dans ma bouche, partout sur mon visage. Puis, tu attaches mes mains au-dessus de ma tête, et tu me laisses encore une fois.

 

Je ne sais pas combien de temps tu me laisses ainsi. Je crois que je dors un peu, je perds la notion du temps. Je redeviens consciente lorsque je sens que tu prends mes chevilles et plies mes jambes pour ramener mes genoux à mes épaules. Je réalise que mon visage est figé sous le sperme qui le recouvre. Puis je sens ta main sur mes fesses, tu tires sur le plug et le retires. Je suis maintenant bien réveillée. Je me sens vide tout à coup mais ce sera bref. "J'ai envie d'un trou," dis-tu. Tu t'appuies sur mes jambes et tu prends mon cul de force. J'ai mal mais la douleur se transforme très rapidement en plaisir. Tu me défonces sans égard pour mon plaisir. Tu t'essoufles sur moi dans tous les angles. Il n'y a pas de doute, mon cul t'appartient. Je suis trempée, j'en ai plein les cuisses, et ça coule le long de mes fesses. Je demande, "Maître, est-ce que je peux jouir?" Tu me réponds non, et tu continues de plus belle. Ma chatte se contracte à un rythme fou, je sens que je ne pourrai pas retenir mon orgasme bien longtemps... et tu t'arrêtes. Tu sors de mon cul, tu jouis sur ma poitrine et m'en badigeonnes les seins. "Tu sens le sperme, ma salope. Tu sens la pute!" Puis tu m'abandonnes à nouveau.

 

Cette fois, je dors profondément. Lorsque je me réveille, tu es à me détacher les mains. J'ai chaud car tu m'as couverte et, malgré certaines douleurs, je suis plutôt bien. Tes mains caressent mes seins maintenant figés sous ton sperme. Tu pinces bien fort. Je remouille instantanément. Je ne sais plus quelle heure il est, quel jour même, mais je sais que je veux jouir. Je me trémousse un peu malgré moi. Tes doigts me pénètrent. Deux, trois, puis quatre s'affairent sur mon point G. Mon corps se tend rapidement, tous mes sens éveillés par ta main experte qui est sans pitié. Tu m'empoignes les cheveux de ton autre main et tires fort, ton regard cherche le mien, "Jouis maintenant, comme une grosse salope. Je veux t'entendre!" Je ne peux plus attendre et j'explose en criant haut et fort, "Oui Maître, je suis une salope!" et tout s'embrume, les vagues ne cessent de déferler. Tu me prends dans tes bras et m'embrasses, me caresses les cheveux, "C'est bien ma chérie, je t'aime, tu as bien fait ça." Je m'endors contre toi, couverte de sperme, cheveux épars, maquillage ruiné, bas filés... et heureuse.  

Par SoumiseSarah - Publié dans : Fantasmes - Communauté : salope soumise
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Catégories

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus